Des éléments pour participer à la consultation sur les gaz des schiste URGENT !
La forme de cette enquête est un déni total de démocratie :
- moins d’un mois pour exprimer des avis ;
- information du public uniquement par internet, ce qui prive ne réalité
la majeure partie de la population de l’information effective et de la
possibilité d’expression ;
- absence de registre d’enquête dans les mairies privant même les élus locaux de leurs prérogatives ;
Contrairement à ce qu’affirme cet exposé la recherche n’a pas des
objectifs "conventionnels".
D’autre part, l’affirmation selon laquelle la fracturation hydraulique
ne sera pas employée est contredite par la p6 de l’étude d’impact :
"un soin particulier sera apporté au traitement des eaux utilisées pour
la fracturation des schistes à gaz.."Les pétitionnaires mentent donc
sciemment. On est d’ailleurs en droit d’attendre qu’ils expliquent
quelle technique ils comptent employer pour nous convaincre.
LA non mise à disposition à tout public de l'étude d'impact est une
rétention supplémentaire d'information, qui contribue à cacher la
véritable nature du projet.
Enfin, il est plus que regrettable qu ’à la veille de faire adopter une
loi sur la transition énergétique, le gouvernement ne trouve pas
d’initiative plus intéressante que de chercher à utiliser à tout prix
les dernières gouttes d’énergies fossiles au mépris de
l’environnement et de la santé publique.
L’expérience américaine et les déboires qu’elle continue de
susciter, ainsi que les dangers auxquels elle expose les populations
seraient-ils ignorés du Ministère de l’Écologie?
Madame la Ministre aurait-elle l’intention de laisser ses services
exécuter ce qu’elle déclare publiquement refuser?
Mme Ségolène Royal :
ou, selon votre logiciel de messagerie :
<malto:cyberacteurs@wanadoo.fr.segolene.royal@developpement-durable.gouv.fr>
(vérifier bien que les deux adresses apparaissent)
Modèle de courrier à envoyer à Mme Royal
Lettre ouverte des collectifs français à Ségolène Royal
En réaction à la signature prochaine d'une douzaine de permis de recherche d'hydrocarbures, les collectifs français ont écrit une lettre ouverte à Ségolène Royal :